Amsterdam-Ijbourg

  20120426_RapportPaysBas       (Source Sciencepo/études urbaines)

 

Vue aérienne de l’IJburg, en novembre 2004.

Le début du project IJburg date des années ’90. Déjà, dans les années 60, les architectes Van den Broek et Bakema avaient développé un plan, qui, à l’époque, avait été rejeté.

La construction du quartier a été décidée en 1996 par la municipalité d’Amsterdam. Le quartier d’IJburg est le dernier quartier d’Amsterdam construit sur un certain nombre d’îles artificielles qui ont été créées sur le lac IJmeer. Les opposants avaient de fortes objections quant à l’épuisement des ressources naturelles dans l’IJmeer, et ont demandé un référendum ; celui-ci fut organisé le . Une majorité des électeurs (60 %) était contre la construction de l’IJburg, mais la participation (41 %) étant trop faible, sa validité n’a pas été retenue et la construction s’est poursuivie. Afin de compenser pour la perte de valeurs naturelles, une nouvelle (petite) réserve a été construite le long du Waterlandse Zeedijk, près de Durgerdam.

L’ambitieux projet est encore en construction, mais plus de 20.000 personnes ont déjà emménagé. Une fois terminé, le quartier aura 18.000 logements pour 45.000 habitants ainsi que des écoles, des commerces, des centres de loisirs, des restaurants et des plages. L’un de ses nombreux projets innovants en matière de logement se déroule dans Waterbuurt ou Water District.

À Amsterdam, dans les maisons flottantes [archive]Le Monde, 13 août 2013.

RENCONTRE INTERNATIONALE «ARCHITECTURE, LE CLIMAT DE L’AVENIR»

Conférence internationale organisée par l’Ordre, le CIAF, le CAE et l’UIA le 30 novembre 2015 à la Cité de l’architecture dans le cadre de la COP 21.

ob_6d592f_logo-cop21-gouv-fr« Comment organiser la ville durable en plaçant l’humain au cœur des projets urbains ? Comment construire et régénérer les bâtiments pour réduire l’impact du secteur sur les émissions de CO2 et de gaz à effet de serre ? Ce sont de ces questions qu’architectes, militants, décideurs politiques locaux, nationaux et européens, sont ainsi invités à débattre et proposer des solutions concrètes qui s’imposent aujourd’hui tant à l’échelle de la ville que du bâtiment pour lutter contre le changement climatique et construire un modèle sociétal répondant aux besoins des populations et préservant l’environnement. Conscients que « l’architecture ne peut sauver le monde », comme le disait Alvar Aalto, « elle peut donner le bon exemple. »

Source : http://livestream.com/uiaciaf/cop21-climatetavenir

Intervention de Paola Viganò, architecte – urbaniste

architecture-882563_1280 » Paola Viganò partage ici sa vision de la ville durable à partir de son expérience du Grand Paris et de son travail sur le concept de « ville poreuse » appliqué à la métropole parisienne. Cette vidéo a été réalisée à l’occasion du cycle de formation Ekopolis 2009 « Concevoir et construire durable, du territoire au bâtiment » le 8 octobre 2009. »

Source: http://www.ekopolis.fr/ressources/intervention-de-paola-vigano-architecte-urbaniste

 

 

 

 

 

 

 

 

Source: http://www.ekopolis.fr/ressources/intervention-de-paola-vigano-architecte-urbaniste

Finger plan – Copenhague

©Ministry of the Environment Denmark 2015

Sketch from the first Finger Plan created by the Regional Planning Office in 1947. Courtesy ©Ministry of the Environment Denmark 2015

‘Le Finger Plan de Copenhague est une planification intégrant transport, urbanisme et zones récréatives. Comme l’indique son nom, ce plan concerne le développement d’une structure urbaine en doigts. Il intègre le développement de l’industrie régionale et la politique de transport.’

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Source: Ville et mobilité durables Synthèse documentaire établie par Robert Laugier pour le compte du Centre de Ressources Documentaires Aménagement Logement Nature (CRDALN)

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